12 août 2006
Amour perdu
Des larmes coulent
Sur mes joues
Rougies par le froid
Mon regard s’attardent
Sur les portent semi-ouvertes
Du cimetière qui te retiens
Loin de mes bras
Jamais plus je ne
Sentirait ta peau
Si douce qui
Doit maintenant
Pourrir sous cet amas
De terre humide
Tu ne m’appartiens plus
Tes seules compagnons
Sont les vers qui te couvrent
De leurs baisés voraces
Combien de temps vais-je
Tenir sans toi…
Pas longtemps car déjà
Ma main cherche un réconfort,
Certain, dans cette arme
Posée prés de moi
Tout comme toi
Autrefois !!
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